Dernièrement, j’ai repris mon rythme de lecture (les vacances me donnent toujours un coup de fouet) et j’ai lu le nouvel opus de Bridget Jones de Helen Fielding : Bridget Jones, Folle de lui
Résumé :
61 kg ; calories 3 482 (mal) ; nombre de fois où j’ai vérifié les cheveux de Roxster pour voir si j’y trouvais des poux : 3 ; SMS à Roxter : 2 ; SMS de Roxter : 0 ; e-mails collectifs des parents d’élèves : 36 ; minutes passées à décider de me préparer pour réunion au sujet du film : 20 ; minutes passées à me préparer pour la réunion : 0Que faire lorsque votre toy boy fête ses 30 ans le soir où votre meilleure amie célèbre ses 60 ans ?
Est-il moralement condamnable d’aller chez le coiffeur quand vos enfants ont attrapé des poux ?
Est-ce mal de tricher sur son âge sur les sites de rencontre ?Confrontée à ces graves problèmes, et à quelques autres non moins angoissants, Bridget relève courageusement le défi d’élever seule deux jeunes enfants, d’apprendre à maîtriser tweets et textos et, surtout, redécouvre sa sexualité à l’heure de – aïe ! le mot qui fâche – l’âge mûr.
Ce que j’en ai pensé : En préambule, je vous rappelle que je suis de la génération Bridget Jones. Quand j’ai lu le premier opus, j’étais Bridget. Je cherchais l’homme de ma vie, tout en profitant pleinement de la vie et en débutant mon job, je vivais au rythme de mes amis et j’étais tout le temps au régime. Dire que j’ai aimé ce premier opus est un mot faible. Alors quand j’ai abordé ce nouveau livre, j’étais impatiente de le lire mais aussi inquiète d’être déçue. Je l’ai lu très rapidement et au final, je ne suis pas déçue. Ce nouvel épisode de la vie de Bridget est loin d’être à la hauteur du premier mais j’ai été très sensible à la manière dont elle parle de la maternité. J’ai eu l’impression que Helen Fielding était venu nous espionner un matin ou bien encore un week-end, tellement les scènes me parlaient. Chez Bridget, c’est le bordel ! Mais finalement un bordel heureux dès que Bridget prend du temps aussi pour elle, du temps de Maman mais pas que !
En définitive, ce n’est pas le livre de l’année mais c’est un livre qui se lit facilement, où j’ai ri et pleuré aussi (la solidarité des mamans).
Une bonne lecture pour une Maman mais pas que !, n’est-ce pas Céline ?