Leur duo très spécial

Depuis deux à trois mois, les relations entre le moustizèbre et le ouistiti ont évolué. Elles se sont apaisées, équilibrées. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a plus de bagarres, mais plutôt que les échanges sont plus riches, qu’ils dégénèrent moins. Le grand Lion et moi avons vu cette complicité s’établir sous nos yeux éblouis.

La semaine dernière, passée au ski en Autriche, où, quotidiennement, les mousticks étaient chacun de leur côté plongés dans un environnement germanophone, avec comme mode de communication les gestes, cette complicité a été exacerbée. Il m’a été merveilleux de les voir se retrouver chaque jour à 15h. Ils se racontaient par le menu leur journée et s’inventaient une histoire où le forfait de ski ouvrait un monde parallèle. Le ouistiti avait besoin de toucher son frère après ces cinq heures de séparation, le moustizèbre qui n’aime pas les démonstrations tactiles se laissait faire sans aucune objection. Leurs caractères très différents ne les opposent plus (systématiquement) mais les renforcent.

Je suis émue de les découvrir sous ce nouvel éclairage. J’espère que cette complicité, tout en évoluant, va perdurer dans le temps. J’aime ce duo très spécial qu’ils forment.

Complicité

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