Nous aimons la filière J’aime de Fleury Michon #VenezVérifier

Au zoo, le jambon blanc est un aliment du quotidien. Pas une semaine ne passe sans que je ne fasse des croque-monsieurs, un menu purée-jambon ou encore sans que je ne glisse une tranche de jambon dans mon panier-repas du déjeuner. Il a beaucoup d’avantage : c’est bon, c’est simple à préparer et il a de bonnes qualités nutritives. Je l’achète régulièrement dans ma fromagerie préférée, qui a un rayon charcuterie réduit mais de qualité. Mais j’en achète aussi en grande surface. Face au choix pléthorique de ce rayon, je choisis toujours un jambon sans couenne, sans conservateurs ajoutés, qui n’est pas le premier prix et très majoritairement de la marque Fleury Michon. Pourquoi ?

Rentrer d’un superbe week-end #venezverifier avec @fleury_michon_officiel, partir faire ses courses et acheter l’esprit tranquille du jambon #fleurymichon

Comme vous le savez peut-être, j’ai eu la chance de partir dans le cadre de la première opération #VenezVérifier en Alaska pour suivre toute la filière du surimi. J’ai beaucoup apprécié leur démarche de transparence à propos des « polémiques » sur ce produit. Vous pensez qu’il n’y a pas de poisson dans notre produit, alors venez vérifier ! J’avais, avant cette opération, une bonne image de Fleury Michon, après cette bonne image était vraiment étayée. Cette perception de cette marque m’amène à me diriger directement vers leurs produits quelque soit le rayon.

Face au succès de cette démarche, Fleury Michon a décidé de la poursuivre avec la filière J’aime du jambon. À nouveau des consommateurs et des blogueurs ont été conviés à visiter l’usine de production de jambon et un élevage de porc de la filière. Et j’ai eu le plaisir de faire partie de l’aventure une fois de plus.

En septembre, le moustizèbre et moi sommes donc partis à la découverte de l’élevage de porcs de Roland à Plestan en Bretagne. Nourris sans OGM et élevés sans traitements antibiotiques à partir de leur 42ème jour, les porcs de Roland nous ont séduits. Ils sont élevés en fratrie tout au long de leur vie et vivent dans des enclos où ils peuvent courir et se mouvoir correctement.

Que l’on ne se trompe pas, nous ne sommes pas dans le film Babe, nous sommes dans un élevage. En revanche, il n’a rien d’un élevage intensif avec les critères que j’en ai :  surpopulation, traitement antibiotique préventif, conditions d’hygiène douteuse… Ici pas de traitement antibiotique, une nourriture sans OGM parfaitement adaptée à leur stade de développement, des espaces propres (qui ne sentent pas la rose je vous le concède mais dont l’odeur est supportable, je vous rappelle que l’on parle d’une porcherie), des animaux respectés.

Je retiens particulièrement que les trois personnes qui travaillent dans l’élevage, connaissent très bien leurs bêtes et leurs habitudes. Roland et son épouse élèvent leurs porcs comme ils souhaitent les découvrir dans leur assiette. Savoir qu’ils mangent la même production que celle que je peux manger est un vrai gage de confiance.

En soutenant cette filière J’aime, Fleury Michon s’engage auprès de ses consommateurs à leur proposer un produit toujours meilleur et je m’engage à vous raconter très prochainement comment Fleury Michon respecte cette viande de qualité dans la production de son jambon.

 

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