Allopathie et homéopathie : deux thérapeutiques à mettre en oeuvre

Les molluscums, vous connaissez ? Si oui vous savez l’enfer que vivent les enfants qui ont attrapés le virus, si non je vous souhaite vraiment de ne jamais connaître.

Alors que sont les molluscums ?

Le molluscum contagiosum est une excroissance de peau qui témoigne d’une infection virale. Le virus du molluscum contagiosum, qui appartient à la famille des pox virus, est l’agent infectieux responsable. Tiré de https://www.abimelec.com/molluscum_contagiosum.htm

En vrai, cela donne cela :

Molluscums non infectés. Crédit photo Naître et grandir

Pourquoi je vous en parle ?

Parce que les molluscums c’est vraiment l’enfer. Le moustizèbre en a depuis un an et le ouistiti depuis 6 mois. Il n’y a pas de traitement efficace et en particulier, le fait de les retirer à la curette, outre le fait d’être douloureux, n’empêche pas que d’autres resurgissent. On les traite donc par le mépris (sauf quand ils se surinfectent). Voilà donc onze mois que le moustizèbre en souffre parce que ça fait mal lorsqu’ils s’infectent et parce que c’est moche.

Et un jour, lors d’une rencontre avec les laboratoires Boiron, nous étions plusieurs mamans autour de la table et nous parlions de notre expérience de l’homéopathie. La mienne est assez limitée mais les quelques fois où j’y ai fait appel, cela a bien fonctionné (en particulier mon traitement contre les jambes lourdes). Dans ce tour, Maman What else a parlé des molluscums et de leur traitement par l’homéopathie. Autant dire qu’elle avait suscité toute mon attention !

J’ai donc consulté un médecin homéopathe et il a prescrit un traitement aux mousticks. Voilà donc presque un mois que chaque matin je leur donne leurs doses de granules. Et hasard du molluscum ou effet de l’homéopathie, le ouistiti n’a plus un seul molluscum et le moustizèbre n’en a plus qu’un. Je ne peux pas affirmer à 100% que cette évolution majeure et positive soit uniquement dûe au traitement homéopathique, mais je suis convaincue que son action y est pour beaucoup.

Moralité : pourquoi se cantonner à l’allopathie alors qu’il y a d’autres options ? Mes mousticks continueront à prendre du paracétamol et des antibiotiques quand c’est nécessaire mais je vais aussi me tourner vers d’autres options thérapeutiques. Pour cela, je vais me mettre à la recherche d’un professionnel qui utilise les deux thérapeutiques (et pourquoi pas une troisième) et qui puisse me proposer le meilleur des deux. Et pour trouver le graal, le service information Boiron est à notre écoute au 0810 809 810 du lundi au vendredi.

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1 réponse à Allopathie et homéopathie : deux thérapeutiques à mettre en oeuvre

  1. Nicolas Frend dit :

    Bonjour, top pour cet article.

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