Notre péché mignon : la nocciolata !

Toute ma vie, j’ai été fan de Nutella (ma mère était d’ailleurs obligée de cacher le pot si elle voulait qu’elle tienne plus d’un goûter). J’ai toujours dit que en matière de pâte à tartiner, en dehors du Nutella il n’y avait pas de salut.

Et puis j’ai goûté la Nocciolata de Rigoni di Asiago. C’est simple il n’y a plus de nutella au zoo, il y a de la nocciolata ! Cette pâte à tartiner est sans huile de palme, fabriquée avec des produits issus de l’agriculture biologique, mais ce n’est pas un argument pour moi. Son argument : son goût ! C’est un régal : une bonne baguette et de la nocciolata suffisent à mon bonheur gustatif. Le ouistiti, nourri in utero au nutella, est d’accord avec moi (il n’y a qu’à voir la vitesse avec laquelle les pots défilent au zoo). Si un jour, je dois arrêter d’en manger, je m’interrogerai sur la possibilité d’avoir des patchs comme les substituts nicotiniques.

Nocciolata-deuxtypes

Parce que ce bonheur doit être partagé avec le plus grand nombre, Rigoni di Asiago a développé une nocciolata sans lait. Et évidemment je l’ai testée. Cette pâte à tartiner n’a pas le même goût que la nocciolata classique, mais ne déçoit aucunement. Sa couleur le montre, elle est plus forte en chocolat et on sent moins la noisette. Le moustizèbre qui n’est pas fan de nocciolata est fan de celle-ci parce qu’elle s’approche d’un chocolat tartinable. Pour ma part, je continue de préférer la version classique mais n’hésite pas à en prendre une petite cuillère quand le moustizèbre se sert.

 

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