Quand la gastro frappe à la porte, je dégaine Sanytol !

Pendant les vacances de Noël, est arrivé ce que je craignais qu’il arrive : le moustizèbre a eu la gastro. Je crains de manière générale la gastro, parce que c’est quand même emmerdant, n’ayons pas peur des mots, pour celui qui l’a et celui qui s’occupe du malade. Mais je crains d’autant plus la gastro pour le moustizèbre, depuis qu’il dort dans une mezzanine, cet espace confiné qui peut vite devenir une piscine de vomi (entre autres …).

Et voilà, c’est arrivé : en pleine nuit, le moustizèbre s’est transformé en fontaine à vomi. À sa décharge, il a réussi à plusieurs reprises à descendre de son perchoir pour rejoindre les toilettes mais pas à toutes …. Me voilà donc à 3h du matin, en train de retirer les draps d’un lit à 2 mètres de haut et de contempler l’ampleur de la tâche restante : comment nettoyer la structure elle-même ? J’avoue que la perspective de me faire de multiples allers-retours avec une éponge, du savon, de l’eau, … ne m’enchantait guère. Et là j’ai eu l’idée qui m’a sauvée : les lingettes Sanytol. En un tour de mains (et en un paquet de lingettes), j’ai nettoyé et désinfecté le lit, même l’odeur est partie, laissant place à un petit parfum d’eucalyptus.

Je ne suis pas une utilisatrice acharnée de lingettes, leur préférant généralement des chiffons et un produit nettoyant. Mais dans une situation comme celle-ci, leur praticité est sans pareil. Leur gros plus, elles sont désinfectantes sans être à la javel et donc respectent mieux les surfaces sur lesquelles on les applique (et sur ma mezzanine suédoise mélaminée, il vaut mieux). Cerise sur le gâteau, elles sont biodégradables ; ma conscience ne s’en porte que mieux 😉

Croyez-moi, j’en ai racheté dès le lendemain !

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