L’orchestre de Paris en famille, c’est extra ! #Orchextra

Au zoo, la musique fait partie de notre quotidien, que ce soit en l’écoutant ou la faisant. Comme toujours, je ne sais pas qui de la poule ou de l’oeuf est venu en premier : est-ce parce que les mousticks ont baigné dedans depuis tout petits qu’ils y sont particulièrement réceptifs, ou bien parce qu’ils y sont particulièrement réceptifs que la musique prend une telle part dans notre quotidien. Pour satisfaire leur curiosité et leur appétence (et la nôtre), nous aimons beaucoup les emmener voir des concerts.

Dimanche dernier, nous sommes allés écouter le premier concert en famille proposé par l’Orchestre de Paris cette saison : Le voyageur perdu d’après Peer Gynt de Edvard Grieg dans la salle Pierre Boulez de la Philharmonie de Paris.

Je ne trouve pas les mots pour décrire l’émotion que nous avons ressentie pendant le concert. À sa simple évocation, j’en ai encore la chair de poule. Ce concert s’appuyait sur une bande-dessinée qui racontait, sans texte, l’histoire de Peer Gynt. La musique, l’histoire, les dessins s’entremêlaient merveilleusement : nous avons voyagé au gré des pérégrinations des personnages.

Chaque concert en famille proposé par l’orchestre de Paris à la Philharmonie est précédé (sur inscription) par des ateliers musicaux (qui ont lieu parallèlement) :

  • un atelier de préparation au concert (entrée libre dans la limite des places disponibles) ;
  • un atelier de découverte du violon ou du violoncelle mené par deux musiciens de l’orchestre de Paris (sur réservation).

Les mousticks ont participé à l’atelier cordes et se sont essayés au violoncelle.

Avec une dizaine d’enfants, ils ont chacun pris en main un violon ou un violoncelle et ont pu s’initier au pizzicato et à l’archet. Ainsi ils ont pu accompagner une violoniste de l’orchestre de Paris sur le boléro de Ravel. Quel plaisir pour les enfants tous débutants sur leur instrument de pouvoir ainsi participer à une oeuvre majeure ! Cela ne m’étonnerait pas que cela déclenche des vocations. D’ailleurs le moustizèbre envisage de faire du violoncelle son second instrument.

Vous l’aurez compris, nous avons été conquis par ce duo atelier / concert en famille. J’ai pris des billets pour le concert en famille du 10 juin qui a pour thème : Les princesses d’Orient. Ce spectacle mêle musique et conte et promet d’être envoûtant.

L’offre famille de l’orchestre de Paris propose ces concerts en famille d’une durée d’une heure mais aussi des contes musicaux, comme Jean de la Lune ou Les trois brigands, à destination des plus petits (4-6 ans) d’une durée de 45 minutes.

Informations pratiques :

  • Dates des prochains concerts en famille :
    • Les fables de la Fontaine en musique le mercredi 2 mai à 15h à la cité de la musique
    • Les princesses d’Orient le dimanche 10 juin à 11h à la Philharmonie
  • Dates des prochains contes musicaux (liste non exhaustive) :
    • Les trois brigands le 16 décembre à 11h à la mairie du 19ème
    • L’enfant d’éléphant le 17 décembre à 11h à la Philharmonie
    • Jean de la Lune le 3 février à 11h à la mairie du 20ème
  • Tarif : 8€/enfant – 10€/adulte +2€ pour participation aux ateliers cordes
  • Réservation en ligne sur le site de l’orchestre de Paris / réservation impérative des ateliers au 01 56 35 12 12

 

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Nino et ses amis : Match à l’italienne #VendrediOnLit

Comme beaucoup d’enfants, les mousticks aiment le foot : ils aiment y jouer, ils aiment le regarder et ils aiment aussi lire des histoires de foot. Dernièrement, grâce à Anne, le ouistiti a découvert la série de livres Nino et ses amis aux éditions Hugo Jeunesse, à travers le tome 5 : Match à l’italienne.

Résumé :

Après leur participation au match de gala au Vélodrome (tome précédent), Nino et ses amis ont obtenu des places pour assister à un match de l’OM à l’étranger en coupe d’Europe. Accompagnés par le grand-père de Nino, les minots se rendent donc à Naples pour supporter leur club contre les Azzuri. La petite bande découvre cette ville populaire et animée et rencontre des gamins qui jouent au foot dans la rue. En essayant de sympathiser avec eux, Jérem se fait voler toutes leurs places pour le match. Nino et ses amis vont devoir retrouver les voleurs, découvrir les lieux secrets de Naples et une population qui, comme à Marseille, vibre passionnément pour le football, avec le souvenir du grand Maradona. Finalement, au terme d’un match épique contre les jeunes Napolitains et grâce à l’intervention décisive du grand-père de Nino qui participera au match pour remplacer Malik à la pointe de l’attaque, les minots récupéreront leur place et pourront assister à la victoire de Marseille contre le SSC Naples.

Ce qu’il en a pensé : Je retranscris ses mots exactement : « C’est trop bien : les enfants vont en Italie pour voir un match. Ils jouent au foot dans la rue et se font voler leurs places pour le match. Il y a du suspense pour savoir s’ils vont pouvoir aller voir le match. » En résumé, il l’a dévoré. Quelle excellente idée de prendre le foot comme levier pour la lecture ! Le ouistiti lit très facilement, mais se lasse aussi facilement si le livre ne le passionne pas. Il a lu ce livre d’un trait, sans fatigue aucune. Un bilan donc très positif !

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Nous aimons la filière J’aime de Fleury Michon #VenezVérifier

Au zoo, le jambon blanc est un aliment du quotidien. Pas une semaine ne passe sans que je ne fasse des croque-monsieurs, un menu purée-jambon ou encore sans que je ne glisse une tranche de jambon dans mon panier-repas du déjeuner. Il a beaucoup d’avantage : c’est bon, c’est simple à préparer et il a de bonnes qualités nutritives. Je l’achète régulièrement dans ma fromagerie préférée, qui a un rayon charcuterie réduit mais de qualité. Mais j’en achète aussi en grande surface. Face au choix pléthorique de ce rayon, je choisis toujours un jambon sans couenne, sans conservateurs ajoutés, qui n’est pas le premier prix et très majoritairement de la marque Fleury Michon. Pourquoi ?

Rentrer d’un superbe week-end #venezverifier avec @fleury_michon_officiel, partir faire ses courses et acheter l’esprit tranquille du jambon #fleurymichon

Comme vous le savez peut-être, j’ai eu la chance de partir dans le cadre de la première opération #VenezVérifier en Alaska pour suivre toute la filière du surimi. J’ai beaucoup apprécié leur démarche de transparence à propos des « polémiques » sur ce produit. Vous pensez qu’il n’y a pas de poisson dans notre produit, alors venez vérifier ! J’avais, avant cette opération, une bonne image de Fleury Michon, après cette bonne image était vraiment étayée. Cette perception de cette marque m’amène à me diriger directement vers leurs produits quelque soit le rayon.

Face au succès de cette démarche, Fleury Michon a décidé de la poursuivre avec la filière J’aime du jambon. À nouveau des consommateurs et des blogueurs ont été conviés à visiter l’usine de production de jambon et un élevage de porc de la filière. Et j’ai eu le plaisir de faire partie de l’aventure une fois de plus.

En septembre, le moustizèbre et moi sommes donc partis à la découverte de l’élevage de porcs de Roland à Plestan en Bretagne. Nourris sans OGM et élevés sans traitements antibiotiques à partir de leur 42ème jour, les porcs de Roland nous ont séduits. Ils sont élevés en fratrie tout au long de leur vie et vivent dans des enclos où ils peuvent courir et se mouvoir correctement.

Que l’on ne se trompe pas, nous ne sommes pas dans le film Babe, nous sommes dans un élevage. En revanche, il n’a rien d’un élevage intensif avec les critères que j’en ai :  surpopulation, traitement antibiotique préventif, conditions d’hygiène douteuse… Ici pas de traitement antibiotique, une nourriture sans OGM parfaitement adaptée à leur stade de développement, des espaces propres (qui ne sentent pas la rose je vous le concède mais dont l’odeur est supportable, je vous rappelle que l’on parle d’une porcherie), des animaux respectés.

Je retiens particulièrement que les trois personnes qui travaillent dans l’élevage, connaissent très bien leurs bêtes et leurs habitudes. Roland et son épouse élèvent leurs porcs comme ils souhaitent les découvrir dans leur assiette. Savoir qu’ils mangent la même production que celle que je peux manger est un vrai gage de confiance.

En soutenant cette filière J’aime, Fleury Michon s’engage auprès de ses consommateurs à leur proposer un produit toujours meilleur et je m’engage à vous raconter très prochainement comment Fleury Michon respecte cette viande de qualité dans la production de son jambon.

 

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Zombillenium, le parc d’attractions où l’on aime avoir peur #MercrediJourDesEnfants

Quand je découvre l’affiche de certains films, je suis toujours un peu perplexe sur ce que je pourrai y trouver : un film totalement premier degré ou autre chose. C’était le cas pour Zombillenium, film de Arthur Pins et de Alexis Ducord.

Résumé :

Dans le parc d’attractions d’épouvante Zombillénium, les monstres ont le blues. Non seulement, zombies, vampires, loups garous et autres démons sont de vrais monstres dont l’âme appartient au Diable à jamais, mais en plus ils sont fatigués de leur job, fatigués de devoir divertir des humains consuméristes, voyeuristes et égoïstes, bref, fatigués de la vie de bureau en général, surtout quand celle-ci est partie pour durer une éternité… Jusqu’à l’arrivée d’Hector, un humain, contrôleur des normes de sécurité, déterminé à fermer l’établissement. Francis, le Vampire qui dirige le Parc, n’a pas le choix : il doit le mordre pour préserver leur secret. Muté en drôle de monstre, séparé de sa fille Lucie, et coincé dans le parc, Hector broie du noir… Et si il devenait finalement la nouvelle attraction phare de Zombillénium ?

Ce que nous en avons pensé : J’ai amené les mousticks voir ce film par un samedi pluvieux. Paris était gris et morose. Comme je vous l’ai déjà dit, je ne savais pas à quoi à m’attendre : un film de zombies mignonnet et drôle pour enfants, un film qui leur ferait(gentimment) peur ? Quand le film a commencé, j’ai tout de suite été plongée dans une ambiance particulière, très proche du monde de la bande-dessinée (je ne savais pas que c’était tiré d’une BD), très sombre (tout à fait en accord avec la météo) et là je me suis demandée si je ne m’étais trompée de cible pour le film. Est-ce que cela allait convenir aux mousticks ? Très rapidement je me suis retrouvée avec le ouistiti sur les genoux parce qu’il avait besoin d’être rassuré, mais néanmoins il a continué à regarder le film sans problème. Au final, j’ai vraiment adoré ce film. Le graphisme est fabuleux, inattendu ; l’histoire est très bien menée avec une ambiance très sombre, très surnaturel et très réaliste. Les mousticks ont aussi beaucoup aimé, mais pas de la même manière. Ils ont été très touchés par les histoires de catégorisation de monstres et aussi bien sûr d’Hector et de sa petite fille. Un excellent film à ne pas mettre devant tous les yeux, qui m’a donné très envie de lire les BD.

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À chacun son pschit !

Automne rime avec nez qui coule au zoo, tout particulièrement celui du grand Lion et le mien.

Le grand Lion est un habitué de la sinusite, c’est son talon d’Achille (un talon dans le nez ce n’est pas courant). Je crois qu’après 17 ans à se côtoyer, je sais avant lui quand la sinusite pointe son nez… (trop facile, mais il fallait que je l’écrives). Il a tout essayé : les corticoïdes qui marchent bien pour la sinusite mais qui envoient tous les microbes dans ses poumons, les anti-histaminiques qui le font dormir plus qu’ils n’ont d’effet… Pour essayer d’éviter la sinusite, il a pris l’habitude de se laver le nez avec un spray d’eau de mer Marimer, cela permet d’en éviter certaines mais pas toutes. Quand la sinusite commence à s’installer, il dégaine maintenant le spray Marimer pour sinusite et rhinite. Le principe est simple un spray d’eau de mer enrichi en cuivre et en manganèse, qui permettent de rétablir les propriétés protectrices de la muqueuse nasale et à faciliter l’écoulement des sécrétions, évitant ainsi la sur-infection.

En ce qui me concerne, mon nez coule pour des raisons d’allergie. Je n’ai pas d’allergies majeures qui nécessitent un traitement de fond mais je me mouche continuellement si je ne fais rien. L’hygiène nasale est toujours un atout mais ce n’est pas suffisant. En période de pics allergiques (en automne, je manipule beaucoup de craie et j’éternue continuellement), j’ai découvert le spray nasal Allergyl pour la rhinite allergique et cela change vraiment mon quotidien. À de l’eau de mer hypertonique naturelle, Allergyl a ajouté des huiles essentielles d’eucalyptus, de menthe et de camomille. Cette combinaison permet de me décongestionner le nez, d’évacuer les allergènes aéroportés et de pouvoir respirer normalement. Un vrai confort !

Alors que je discutais de cela avec ma pharmacienne, elle m’a conseillé d’utiliser, en complément, le spray Allergyl Protection rhinite allergique.

 

Je viens de commencer à l’utiliser et je ne peux vous dire si mes allergies diminuent. Mais je suis confiante, étant donnés les résultats du spray décongestionnant.

Enfin, j’insiste sur un point ces trois sprays dont je vous parle sont très doux, pas du tout aggressifs. Ni le grand Lion ni moi n’avons l’impression de se laver le nez au karcher au quotidien et cela est un gage d’utilisation quotidienne (qui a envie de se mettre un karcher dans le nez tous les jours ?)

Ceci est ma participation au #MardiBeauté de Parisienne à Vincennes.

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